Interview de João « Stairs Man » Miguel réalisée le 19 avril 2025.
Journaliste : Bonsoir Monsieur le Président, merci de nous accorder cet entretien. Vous avez été élu avec une majorité écrasante (98,8% des voix), et pourtant certains observateurs évoquent une campagne « opaque ». Comment réagissez-vous face à ces accusations ?
Stairs Man : [sourire] Voyez-vous, quand un peuple choisit un élu de par leurs convictions personnelles, les opposants crient souvent à la fraude. C’est ainsi. Peu importe les mesures prises, je ne pourrai pas plaire à tout le monde, et il en aurait été ainsi peu importe le dirigeant. Malgré tout, la majorité du peuple me suit positivement et ce pour de bonnes raisons. Mon parcours parle de lui-même. J’ai sauvé ce pays à plusieurs reprises et mon influence dépasse les frontières de notre continent. Je suis un homme d’action, pas de couloirs administratifs. Le peuple n’oublie pas ça. Il m’a fait confiance. Et j’honore cette confiance chaque jour.
Journaliste : Vous êtes également connu pour être un « homme-objet », plus précisément un homme-escalier. C’est la première fois qu’un homme-objet gouverne le pays. Que signifie cela concrètement dans l’exercice du pouvoir ?
Stairs Man : L’homme-objet est un pont entre le banal et le surnaturel. Moi, j’incarne ce pont. Avant mon élection, j’étais vu comme un héros, mais je ne veux pas que les gens gardent forcément cette vision héroïque et très fantaisiste de moi-même. Je suis un homme proche du peuple, même en étant un homme-escalier. Les gens montent vers l’avenir grâce à moi. Mon pouvoir symbolise l’élévation, la hiérarchie, la structure. J’incarne l’ordre dans un monde qui, avant moi, semblait sombrer dans le mal. Nous autres hommes-objet avons pendant longtemps été mis à l’écart. Nous sommes des humains comme les autres et je suis très fier de pouvoir les représenter.
Journaliste : Avant votre élection, vous étiez considéré comme un héros national pour avoir résolu de nombreuses enquêtes à la place même des forces de l’ordre. Pouvez-vous nous parler de cette époque ?
Stairs Man : Ah, c’était une autre vie. Mais oui, c’est vrai. J’ai collaboré étroitement avec les forces de police. Je voyais des choses que d’autres ne voyaient pas. Et mes pouvoirs m’ont forcément permis des choses qu’un autre n’aurait pas pu. Mes escaliers m’offrent d’autres possibilités. C’est ce regard-là qui m’a permis de résoudre des affaires complexes, là où les procédures classiques échouaient. J’étais un héros, oui, mais je n’en tire aucune vanité. Juste la confirmation que j’ai toujours été du côté de l’ordre et de la justice. Et je suis très fier d’avoir toujours été rangé de ce côté là.
Journaliste : Parlons de la Miguel Corporação, cette immense infrastructure que vous avez mise en place peu après votre investiture. Officiellement, il s’agit d’un gigantesque centre de réhabilitation pour les criminels dangereux. Pourquoi ce projet dès votre arrivée au pouvoir ?
Stairs Man : Parce que le Portugal mérite la paix. Pendant trop longtemps, notre société a été gangrénée par la délinquance, la corruption morale, et la désobéissance aux règles fondamentales. Je suis un citoyen portugais depuis ma naissance et je peux témoigner du fait que cela fait plusieurs décennies que le peuple se plaint. La Miguel Corporação est une solution radicale mais juste. Nous sélectionnons les éléments les plus nocifs de notre société et nous les plaçons dans un environnement où ils ne peuvent plus nuire. Et les statistiques depuis parlent d’elles-mêmes.
Journaliste : Vos détracteurs dénoncent un manque total de transparence. Aucun média n’a pu visiter les centres. Il se murmure que certains groupes ethniques y seraient surreprésentés. Que répondez-vous à cela ?
Stairs Man : [rigole] Ah, la vieille carte ethnique. Écoutez… le crime n’a pas de couleur. Mais les statistiques sont les statistiques. Si certaines communautés apparaissent plus souvent dans nos fichiers, cela pose une question sociétale, pas morale. Nous, nous ne faisons que constater, et agir. Il faut parfois regarder les stats sans se voiler la face, même si cela dérange les salons progressistes de Lisbonne. Nous ne faisons pas de généralités, ce projet est un projet de paix, pas un projet de discrimination. Je n’y peux rien si certains groupes ethniques sont plus représentés que d’autres, et le fait même que mes détracteurs y voient une forme de racisme, en dit long sur eux-mêmes [sourit].
Journaliste : Vous avez été accusé de tenir des propos ambigus, voire racistes, dans certaines réunions à huis clos, notamment lors de votre discours interne aux cadres de la Miguel Corporação, dont un extrait aurait fuité.
Stairs Man : Vous savez quoi, vous savez ce que je pense ? La vérité n’est jamais ambiguë. Elle est simplement mal acceptée. Et si certains refusent d’ouvrir les yeux, qu’ils restent dans le noir [sourit]. Mais qu’ils ne viennent pas m’accuser d’avoir allumé la lumière.
Journaliste : Est-ce que vous confirmez ou démentez les propos suivants, qui vous sont attribués : “Le monde ne s’élèvera que lorsque ces sales [REDACTED] de merde auront été éliminés” ?
Stairs Man : Ce que je dis souvent, c’est que l’élévation passe par l’épuration — de la corruption, de la violence, de l’indiscipline. Si certains y voient autre chose, c’est peut-être leur propre reflet qui les dérange. Et pourtant, croyez-le ou non, cela n’a rien à voir avec cette citation, qui m’est totalement inconnue. La diffamation et la désinformation sont de graves fléaux dans notre pays au même titre que l’insécurité, et nous comptons bien y remédier.
Journaliste : Vous avez été aperçu plusieurs fois en Israël, notamment aux côtés d’un certain Israelo Raello, une figure influente à Jérusalem. Quel est le but de ces rencontres ?
Stairs Man : Israelo est un allié, mais avant tout, un ami. C’est un homme de principes, d’ordre. Nous partageons des valeurs communes, nous accordons chacun beaucoup d’importance à la sécurité de nos pays respectifs. Je me retrouve beaucoup dans ses idées. Israël est un pays d’innovation, de discipline, et j’ai beaucoup à apprendre de ses modèles, mais mes visites là-bas sont stratégiques, pas idéologiques. J’y ai plus à faire avec mon bon ami Israelo, qu’avec Israël.
Journaliste : Vous parliez plus tôt de l’ordre et de la paix. Pourtant, depuis votre élection, vous êtes très souvent absent du territoire national. Certains avancent que vous passez plus de temps à l’étranger qu’à Lisbonne. Où êtes-vous, Monsieur le Président ?
Stairs Man : [sourire appuyé] Vous savez, on ne construit pas un escalier en restant au pied du mur. Mon travail dépasse les frontières et mon influence est mondiale. J’ai des alliances stratégiques, des partenariats cruciaux à établir. Ce que je fais à l’étranger garantit la stabilité ici. Le peuple n’a pas besoin de me voir tous les jours pour sentir ma présence. Je suis l’ossature invisible. Et ce genre de critique, c’est un peu comme reprocher à un architecte de ne pas dormir sur son chantier.
Journaliste : L’opinion publique vous a toujours considéré comme un homme fort, mais certains analystes vous accusent de n’avoir que peu d’actions concrètes en dehors de la Miguel Corporação. Que répondez-vous à cela ?
Stairs Man : Quand on construit un pilier, on ne s’éparpille pas à bâtir des bancs. La Miguel Corporação est la clef de voûte de ma politique. C’est là que se joue le combat fondamental pour la sécurité et l’avenir du pays, et même du monde entier. Je n’ai pas besoin de me disperser en projets gadgets pour plaire à l’opinion. Je préfère un seul projet radical et efficace, à dix demi-mesures sans impact. Et puis, vous n’avez qu’à demander au peuple leur opinion concernant l’insécurité. Cela fait des années qu’elle se classe plainte numéro une dans le pays. Il est normal que je cherche à la résoudre.
Journaliste : On observe un durcissement des contrôles de sécurité dans certaines régions. Est-ce une dérive autoritaire ?
Stairs Man : Non, c’est de la vigilance. La sécurité ne doit pas être confondue avec la répression. Si on relâche la pression, ce sont les citoyens qui en paieront le prix.
Journaliste : Une question plus personnelle : certains experts estiment que vos idées extrêmes, notamment en matière d’ethnicité et de discipline, pourraient trouver racine dans votre histoire familiale. Votre père, selon plusieurs sources, nourrissait des idées très radicales. Est-ce un héritage assumé ?
Stairs Man : Il va falloir arrêter de parler d’ethnicité. Mon père a été assassiné sous mes yeux. Par des hommes qui se fichaient de la loi, de la morale, de la justice. Cet événement m’a marqué, c’est vrai. Il a fait de moi ce que je suis aujourd’hui. Mon père avait ses opinions, mais il m’a surtout transmis un sens aigu du danger et de la discipline. Le reste, ce sont des interprétations. Mais il faut reconnaître une chose : ceux qui ont vu le mal de près n’en ressortent jamais tout à fait pareils.
Journaliste : L’argument concernant le fait que vous possédez depuis très jeune un casier judiciaire ressort souvent dans les discussions de vos détracteurs. Avez-vous des regrets concernant ce fait ?
Stairs Man : Non. J’ai toujours été du côté de la justice, mais parfois, celle-ci a besoin d’un gros coup de poing. Ce jour-là, je n’étais pas hors de moi ou quoi que ce soit, j’ai juste fais ma propre justice, j’ai fais ce qui me semblait juste. J’ai rendu ce qu’on m’a donné, ou plutôt, ce qu’on m’a prit.
Journaliste : Vous n’avez ni femme, ni enfant. Vos proches disent que vous êtes un homme seul. Cela ne vous pèse-t-il pas ?
Stairs Man : [rigole] Quelle sorte de question idiote est-ce là ? Un homme seul gouverne mieux qu’un homme divisé. Qu’est-ce que le fait que je n’ai ni compagne ni enfants puisse faire à mon peuple ? Et puis, je suis encore jeune, [sourit] — et je sais où est-ce que cela va vous amener : oui, je suis un très jeune président. Et pourtant, le peuple m’a élu. Il en est ainsi.
Journaliste : Il y a des rumeurs persistantes sur la façon dont vous avez accédé au pouvoir. Que répondez-vous à ceux qui parlent de fraudes ?
Stairs Man : Les élections ont été validées. J’ai pris mes précautions et j’ai toujours fais de mon mieux pour soigner mon discours et mon image, oui, mais rien d’illégal n’a été prouvé. Les gens ont voté, et j’ai été élu. Le reste, c’est du bruit.
Journaliste : Où voyez-vous le Portugal dans dix ans, sous votre direction ?
Stairs Man : Pur. Prospère. En paix. Un pays où chacun connaît sa place et monte les marches avec dignité. Et ceux qui refusent de monter ? Qu’ils restent en bas. Je ne suis pas là pour forcer les choses. Seulement pour construire l’escalier.
Journaliste : Merci, Monsieur le Président, de nous avoir accordé cet entretien.
Stairs Man : C’est important de parler franchement et de rester proche du peuple. Merci à vous.
Stairs Man s’est levé, raide, immobile un instant, comme une statue de granit. Puis il a lancé un sourire aux équipes, a présenté son au revoir, et a quitté la salle.
STAIRS MAN -> STAIRS ANAGRAMME DE RASIST !!!! REVEILLEZ VOUS LE PAYS EST FOUTU DANS LES MAINS DE CE BRIGAND
tout était devant nos yeux depuis le début malgré les plus sceptiques… il faut que le peuple se réveille !!!
Merci à vous pour votre eveil
MONSIEUR STAIRS MAN S’EN VA AU NIGERIA POUR TUER DES NIGAUDS !!! CE MEC EST DANGEREUX
CES RUMEURS SONT COMPLETEMENT INFONDES ! le mec qui se prend pour stairs man
Mr Stairs, on vous aperçoit vous et mr Raello à de nombreuses reprises dans des salons avec des inconnus, qui sont ils ? Font ils parti du pouvoir actuel? Expliquez vous
je chiale de rire mon stockage qui va sauter à cause des images
STAIRS MAN EST MORT PENDANT LE COVID !!! LE PRESIDENT DU PORTUGAL ACTUEL EST UN IMPOSTEUR !!!! REVOLUTION #JeSuisStairsMan #Escalier #RIP #Mensonge #Colimaçon
AAAAHAHAHAHHA